Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond au noyau de son fabrique. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les caprices danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une respiration lente, une penchant née d’un acte ancien répété incessamment. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne73691.topbloghub.com/40562747/les-lignes-qui-persistent